Quelle que soit la forme juridique d’une institution, les conflits internes sont inévitables. Cela pourrait être un malentendu avec les membres de l’équipe ou les employés au sein de l’entreprise. Il ne faut jamais oublier qu’avant d’être un milieu professionnel, une entreprise est tout d’abord un espace humain, dans lequel les accords et les désaccords peuvent grandement affecter la vie sociale interne. Pour que cette influence ait un impact positif sur la croissance de son entreprise, il est important d’anticiper les conflits et de chercher les solutions les mieux adaptées à sa situation.

Quelles sont les différentes sources de conflit ?

Aucune organisation ne peut échapper aux situations conflictuelles, que ce soit dans les hiérarchies traditionnelles ou les plus agiles. Ainsi, quatre types de conflit sont à tenir en compte :

Les conflits de données : par exemple, quand une journée est presque terminée et que vous recevez un e-mail vous informant que vous avez une nouvelle tâche à accomplir immédiatement. Est-ce que cela vous fait sourire ? Cependant, le courrier électronique était la source de conflit la plus fréquemment citée. Pourquoi ? Car à l’écrit, le lecteur est privé des signaux non verbaux de l’interlocuteur, et donc il y a plusieurs interprétations d’un même message.

Les conflits structurels : le conflit structurel concerne les hiérarchies et les missions de chacun, les récompenses et le salaire, l’espace de travail, etc. Ils ont généralement l’air insignifiant et ne se détachent donc pas tels qu’ils apparaissent.

Les conflits de personnalité : ce sont généralement des questions d’ego. Ils se produisent dans des environnements hiérarchiques agiles ou dans des personnalités fortes, où la place de l’individu et les responsabilités de chacun sont privilégiées.

Les conflits de valeurs : ce type de conflit est plus sensible car il est intime et associé à l’individu lui-même. Il concerne la présence au travail et les philosophies d’intervention, les façons de travailler, les croyances religieuses, etc.

Pour consulter le médiateur Antonino Mercuri, veuillez-vous rendre sur ce site.

Comment anticiper d’éventuels conflits ?

Pour pouvoir anticiper aux éventuels conflits, trois conseils sont à prendre en compte :

Donnez la parole et circulez les informations : la bonne manière de prévoir les conflits dans ou avec une équipe est sans aucun doute de faire parler tout le monde au préalable. Pour cela, toutes les démarches sont meilleures, pourvu qu’elles permettent effectivement à chacun de comprendre les aboutissants et tenants du problème et d’exprimer ses désaccords si possible, ses attentes, ses inquiétudes.

Posez des questions : malgré toutes les précautions que vous prenez pour construire et entretenir la cohésion d’équipe, lorsqu’un conflit surgit, la pire chose que vous puissiez faire est de l’ignorer sous prétexte que vous avez tout fait pour le prévenir. Les conflits et les tensions sont très naturels, surtout dans une petite entreprise qui ne manque pas de motivation, car la survie d’une entité dépend probablement des actions quotidiennes et des décisions quotidiennes de chacun.

Respectez les autres : par exemple, une personne décide de respecter l’éventail de compétences de son développeur. Quant à ce dernier, il se concentre maintenant sur la correction des bugs signalés dès que possible ou explique à l’autre pourquoi il ne le fait pas lorsque de telles tâches sont reportées. Depuis plusieurs mois, ce problème n’est pas réapparu.

Notamment, vous pouvez également faire appel aux services du médiateur Antonino Mercuri pour anticiper et gérer convenablement les conflits en entreprise.

La médiation : Une solution des conflits au travail

La médiation est un système procédural de résolution des conflits utilisé par des personnes qui s’opposent à un litige ou souhaitent l’empêcher de survenir, afin de parvenir à un accord grâce aux bons offices d’une personne appelée « médiateur », comme Antonino Mercuri. La médiation est soit décidée par le tribunal saisi du conflit litigieux, soit par les parties en dehors de toute démarche judiciaire. Elle a pour but d’amener chacune des parties à un accord par l’intervention de ce tiers objectif et neutre (c’est le médiateur). Ainsi, la médiation est une solution perçue de gestion des conflits qui résout consciemment les problèmes.

On valorise la vie humaine au-dessus de toute autre considération, et on ne nuira pas à la sécurité et à la santé de ceux qui œuvrent pour nous ou sont affectés de nos activités. On espère que chaque employé, entrepreneur et visiteur pourra rentrer chez lui en sécurité et en bonne santé chaque. La sécurité et santé au travail font partie intégrante de nos activités quotidiennes. On s’engage à fournir l’environnement de travail sûr et sain à nos employés, visiteurs et sous-traitants, à améliorer et à promouvoir leur bien-être.

Système de gestion de sécurité et santé au travail

L’entreprise a développé le système complet de gestion de sécurité et santé, et leur base de fabrication a passé avec succès la certification des normes de sécurité et santé internationalement reconnues. Il utilise autant que possible des outils numériques et a développé les outils avancés des systèmes d’auto-évaluation, de gestion d’événements, processus de gestion des risques au travail, tous facilement abordables. Il croit que toute blessure et maladies professionnelles sont évitables. Il n’y a pas de système de gestion ou de politique en soi qui puisse garantir la sécurité et la santé, mais grâce à la combinaison d’un environnement de travail sûr et sain, des meilleures pratiques de gestion de sécurité et de santé, des employés à temps plein et se concentrant sur ce bien-être de leurs collègues et d’eux-mêmes, ainsi que la participation et un leadership visible, l’objectif de zéro blessure et maladie professionnelle ainsi que la santé des salariés sont à portée de main. Pour plus d’informations, visiter ce site : securite-travail.fr

Sécurité et santé au travail : l’obligation de résultat de l’employeur

Les obligations de sécurité ne sont plus seulement comprises comme l’obligation de l’employeur d’assurer la sécurité personnelle des salariés comme maladies professionnelles et accidents du travail. Elle s’est étoffée et intègre désormais une protection de tous les risques professionnels auxquels peuvent être confrontés les salariés du fait de leurs tâches, particulièrement cette protection des risques psychosociaux comme le burn-out, l’alcoolisme et l’anxiété réactive. Si le droit du travail impose seulement aux employeurs de prendre toutes les mesures indispensables pour assurer la sécurité et la santé physique et mentale des salariés, la jurisprudence précise en outre la réelle obligation de résultats, qui s’étend à tous les aspects qui rendent une bonne santé mentale et physique des salariés. Le fond est initialement exposé à des maladies professionnelles. Les obligations réglementaires sont d’abord l’amiante. Par conséquent, l’employeur est tenu d’obtenir des résultats, et il sera présumé assumer l’entière responsabilité en cas de mise en danger des salariés ou d’insécurité. Il ne peut s’exonérer de responsabilité qu’en prouvant qu’il existe une situation de force majeure, ou le fait que le salarié lui-même a contribué à son dommage en l’absence d’une telle situation.

Intervenants en santé et sécurité au travail

Par conséquent, les chefs d’entreprise ont la responsabilité directe et personnelle de la protection de la sécurité et de la santé de chacun de leurs employés. Toutefois, il peut se faire assister par des experts comme les agents de prévention au travail des risques professionnels, les inspecteurs du travail, les ingénieurs-conseils ou contrôleurs de sécurité, les techniciens de la prévention mutuelle, organismes de formation et de conseil spécialisés en santé et en sécurité au travail comme OPPBTP, INRS, médecins professionnels et  d’autres encore. En plus, ils ont de nombreux contacts au sein de l’entreprise tels que CHSCT, assistantes sociales, préventeur et bien d’autres. Cependant, ce n’est pas le seul. Les acteurs de la sécurité et de la santé au travail sont nombreux. La sécurité est l’affaire de chacun et de tous, les salariés et leurs représentants comme CHSCT, CE, DP,  DS et aussi d’autres sont tenus d’apporter tout leur soutien ainsi que leur participation active aux diverses actions de protection et de prévention.

Le changement de la situation de l’entreprise employeuse est un contexte fréquent au cours de son existence. Le transfert d’entreprise figure parmi les manifestations de ce changement. Afin de préserver les intérêts et droits des travailleurs face à une telle transformation, des dispositions particulières sont prévues par la loi, notamment par le Code du travail. L’article 1224 1 de la loi portant code du travail explicite le cas qui peut se présenter sous forme de vente, de fusion et de la transformation.

 

Que dit l’article 1224 1 du code du travail ?

Cette disposition textuelle a été mise en place depuis l’année 1928. L’esprit de sa mise en place réside dans la sauvegarde de l’intérêt des salariés, si une modification de la situation d’un employeur se produit. À travers ce processus, une sécurisation des contrats de travail a été mise en place à titre d’exception au principe de l’effet relatif d’un contrat entre un travailleur et un employeur prévu par l’article 1165 du texte relatif au Code civil. En se référant au principe de droit du travail, il est prévu que le contrat liant le travailleur et son employeur n’engagent que les parties signataires. Or, dans le cadre d’un transfert d’entreprise, l’employeur repreneur n’a conclu aucun contrat avec les salariés de la société objet de cession ou de vente. Ainsi, afin de maintenir le contrat en cours, l’article l1224 1 du code du travail prévoit que le contrat valable le jour de la transition reste valable le récent employeur et les employés de l’entreprise. Cette disposition du code du travail est donc une balise face à l’instabilité du monde de travail. Cliquer ici pour de plus amples informations sur l’article 1224 1

 

Le transfert du contrat de travail selon l’art 12241

En se référant au principe posé par le droit, un contrat n’engage que les parties signataires. Par rapport à ce principe, le contrat des salariés n’engage pas l’employeur bénéficiaire du transfert dans une mise en société de l’entreprise par exemple. L’application de ce principe est dommageable pour les salariés du fait qu’il est contraire au maintien des droits des travailleurs. Face à une telle situation, le transfert du contrat liant les deux parties est une exception propre au droit du travail qui signifie que le changement d’employeur n’équivaut pas à une fin du contrat en cours. Un simple transfert de contrat liant l’employeur nouveau et les employés s’opère d’après les dispositions de l’article l 1224 1 code du travail. Le changement d’employeur ne met pas fin à la jouissance des droits des salariés, car le futur employeur est tenu de procéder à un transfert de contrat comme prévu par la 1224 1. Cependant, certaines dispositions du contrat en cours peuvent faire l’objet d’une modification à la demande des deux parties. Par conséquent, les termes de l’article l1224 1 précisent qu’aucune rupture ne sera faite à l’issue de cette modification. 

 

Le champ d’application de l’article L1224-1

L’article relatif au transfert d’entreprise prévoit des circonstances à l’instar du décès d’un employeur. Si cette situation se produit, les héritiers du défunt seront de plein droit les nouveaux employeurs. Toutes les obligations relatives au contrat seront donc transmises aux nouveaux employeurs. Il s’applique également lors de la mise en vente de l’entreprise concernée. Dans cette situation, les obligations en rapport avec les contrats de travail en cours seront immédiatement transmises à l’acquéreur. Le principe posé par l’article l 1224 1 code du travail est également valable si une fusion de la société de l’employeur avec des sociétés tierces est envisagée. Dans la pratique, cette fusion se manifeste généralement par une création de succursales, mais également lors d’une scission d’une société ou/et si une reprise des activités d’une entreprise ayant cessé de tourner est en cours.

 

Les exceptions à l’article 1224 1

Depuis sa mise, l’article relatif au transfert d’entreprise a fait l’objet de plusieurs adaptations à la réalité sociale. Ainsi, dans cette optique, de nouveaux principes découlent de ce concept d’adaptation. En réalité, l’article 1224 1 en soit n’a pas connu de modification expresse, mais les articles périphériques ont seulement apporté des précisions. De ce fait, il est à noter que le licenciement avant transfert est dorénavant possible. Cette situation concerne les sociétés d’au moins 1000 employés afin d’éviter la situation extrême qui est la fermeture définitive d’une entreprise. Si l’établissement est transféré à un repreneur pour éviter cette fermeture, l’article l1224 1 du Code du travail ne s’applique que dans la limite des postes n’ayant pas fait l’objet d’une suppression ou de licenciement. Une telle disposition a été mise en place afin d’harmoniser la reprise effectuée par le repreneur. L’employeur actuel peut également requérir à la suppression des avantages individuels acquis par les salariés avec l’ancien employeur. Cependant, il est à noter que le principe est le maintien de la rémunération qui est un droit fondamental des salariés. 

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La créance peut être définie comme une somme due par un débiteur à un créancier. Que ce soit le créancier ou le débiteur, tous deux peuvent être une personne morale ou physique. À défaut de ne pas pouvoir payer la somme due à une date d’exigibilité, cette somme se transforme en impayé qui plus tard fera l’objet d’une procédure de recouvrement.

En quoi consiste exactement le recouvrement de créances ?

Le recouvrement de créances est une activité obligatoirement encadrée par la loi. Il consiste à user des différents moyens pour avoir un débiteur de paiement de la créance due. On peut faire référence à plusieurs types de créances comme dans le cadre des impôts : créance fiscale, dans le cas où deux personnes seraient concernées : créance civile, dans le cadre d’une entreprise : créances commerciales. C’est le rôle d’un créancier de désigner une personne physique ou morale à laquelle un objet est dû par le débiteur. Légalement, chaque client a une obligation de régler une créance avant la date apparue dans une facture, mais pour plusieurs raisons, cela peut ne pas se faire. Cependant dans le cas où après plusieurs échanges ou rappels pour régulation de facture, la somme à payer ne serait pas encore remise, il y a une possibilité de lancer une procédure complète de recouvrement, tout cela dans une relation de proximité avec la justice. Pour en avoir plus d’informations, veuillez cliquer recouvrement de créances.

Le recouvrement amiable, la solution la plus conseillée

Le recouvrement amiable est le principal recouvrement créance auquel on fait référence dans le cas d’une facture non payée. C’est le fait de considérer toutes les actions possibles à mettre en place de manière assez libre pour une entreprise pour que les sommes qu’il souhaite à récupérer lui soient dues. En pratique, c’est le fait de rappeler au débiteur qu’il a encore une dette non payée et que vous êtes prêt à passer chez une instance judiciaire s’il ne paie pas dans le délai fixé sa dette. Dans ce cadre, il n’existe pas une intervention de la part de la justice, il n’est pas aussi nécessaire de passer dans une entreprise spécialisée en recouvrement. Ce type de recouvrement peut alors se traduire tout simplement par une simple lettre dans la mesure où elle respecte au moins une certaine formalité avec une obligation d’identifier chaque partie, le montant exact de la somme réclamée et le délai pour honorer la dette.

Le recouvrement judiciaire, une solution concrète

Dans le cas où le recouvrement amiable n’assurerait pas le recouvrement créance, il existe une possibilité de faire une requête auprès d’une instance judiciaire compétente la plus proche. On peut distinguer différents niveaux de pression que la justice peut appliquer dans l’objectif d’obtenir le paiement d’une dette qui n’est pas honorée. Ce type de recouvrement peut se faire de trois façons différentes, par une injonction de payer qui est une procédure très rapide avec un coût assez modeste. Il peut aussi procéder par un référé de provision qui est une procédure assez courte, car il dure entre quinze jours et un mois, sans l’implication d’un avocat. Enfin, il peut aussi très bien s’appliquer par une assignation de fond qui est une procédure plus longue que les autres, car elle est exercée souvent dans le cas où les dossiers sont plus complexes, avec des sommes d’argent beaucoup plus élevé.

Quelles sont les étapes à suivre ?

Le recouvrement de créances se procède en trois étapes, tout d’abord la mise en place d’une lettre de relance. La lettre de relance est la première étape de tentative d’un recouvrement. Elle n’est pas obligatoire, mais fortement recommandée, car elle permet de garder les liens entre le débiteur et le créancier. En effet, l’absence de règlement d’une facture peut être juste due à un oubli ou une négligence de la part d’un débiteur, ainsi une lettre peut suffire pour régler la situation. Cette lettre permet alors de faire un rappel de cet impayé au débiteur. Ensuite, si aucune suite n’a été donnée à cette lettre de relance, il est nécessaire de procéder à une mise en demeure de payer surtout si vous envisagez de faire un recours à une procédure judiciaire en injection de payer. Cette étape est considérée comme une dernière occasion pour le débiteur de payer sa dette. La dernière étape d’un recouvrement de créance est l’injonction de payer. L’injonction de payer est une procédure de recouvrement judiciaire qui met l’affaire entre les mains d’un juge qui déterminera si la facture doit être payée ou non. 

Dans l’exercice de leur fonction, les salariés d’une entreprise peuvent être exposés à des dangers de tout ordre. Dans ces cas, la responsabilité juridique de l’employeur est hautement impliquée. C’est pour cette raison que des dispositions doivent être prises afin d’assurer la prévention des risques professionnels tels que les maladies et les accidents de travail. Si vous souhaitez découvrir dans les détails les raisons qui sous-tendent cette action préventive s’imposant au patron d’une société, alors vous trouverez un réel intérêt à lire ce guide.

Intérêt de faire la prévention

L’action salvatrice en amont est de prévenir les mauvaises situations en améliorant les conditions et l’environnement de travail du personnel. Ainsi, lorsque les stratégies de l’entreprise contribuent au dialogue au sein du groupe, cela permet de prendre en compte les suggestions des uns et des autres aux fins de faire des réajustements relatifs aux besoins matériels ou immatériels. C’est donc un gros avantage sur les plans humain, social et technique ; les risques psychosociaux au travail sont ainsi évités.

Si éventuellement le patron de l’entreprise s’engage dans la prévention, il pourra contenir les débordements surtout ceux liés à la santé (arrêt maladie). En effet, de nouvelles politiques de prévention permettent de revoir au rabais les coûts liés aux maladies et accidents de travail. Pour en savoir plus à ce sujet, accédez à www.aviseconseil.com

Risques professionnels

Comme vous le savez, un salarié dans l’exercice de ses fonctions peut subir accidentellement des altérations et des atteintes corporelles pouvant conduire à une incapacité de travail. Qu’elle soit temporaire ou permanente, cette inaptitude provenant d’incidents professionnels peut exercer en retour un impact psychologique sur l’entourage et sur la victime elle-même. Ainsi, les dommages corporels bien qu’ils soient plus apparents ne sont pas la seule source de déséquilibre au sein des sociétés. Les risques psychosociaux eux aussi sont à prévoir et à appréhender de manière stratégique.

En dehors des aspects physiologique et psychique, les dangers liés aux fonctions quotidiennes peuvent ralentir la productivité et occasionner des dépenses : c’est l’enjeu économique.

L’évaluation des risques professionnels doit également prendre en compte les volets financier et juridique. Par exemple, si votre matériel utilitaire devient défectueux lors d’une mauvaise utilisation ou d’une casse éventuelle, l’entreprise devra débourser de l’argent pour le remplacer. De même, s’il s’agit de blessures nécessitant la substitution de l’intéressé, la boîte devra assumer les coûts afférents.

En matière de sécurité, la réglementation juridique prévoit des mesures pouvant mener employeurs et employés à engager leurs responsabilités civile et pénale. Tout cela pourrait ralentir les activités de l’entreprise et rallonger les délais fixés pour l’exécution des tâches. Il est donc préférable d’opter pour des mesures pacifiques.

Avantages de la prévention

Vous n’êtes pas sans savoir que les entreprises officielles sont soumises à des cotisations AT/MP pour le compte de la sécurité sociale. Plus l’activité de la structure est dense en termes de revenu, plus le taux de cotisation sera élevé. Toutefois, sachez que certains experts offrent à ces acteurs des subventions prévention et des remises sur ces cautions périodiques. Pour accéder à cette offre, il suffit de créer un compte professionnel de prévention.

De nombreuses entités ont recours à la médiation entreprise et formalisent leurs engagements à travers un document unique de sécurité.

En cas de conflit entre le chef et les salariés, le médiateur restaure le dialogue entre les protagonistes. À travers le document unique d’évaluation des risques, celui-ci propose des solutions profitables aux deux parties. En outre, l’option du compte pénibilité est avantageuse pour le salarié soumis à des facteurs affligeants.

Mesure de prévention des risques professionnels

Les compagnies spécialisées dans la médiation entreprise établissent entre le chef d’entreprise et ses collaborateurs un document unique qui sécurise les statuts de tout le personnel. Sur le long terme, cette formalisation améliore également l’image de l’entreprise sur le terrain. Dans la plupart des cas, un conseiller est attribué au salarié pour le défendre au besoin.

Il ne faut pas omettre les responsabilités du délégué du personnel vis-à-vis de ces partenaires. En effet, il revient à ce dernier de garantir le respect des droits eu égard à la réglementation. Il s’agit entre autres des salaires, du transport, du code du travail, des heures de travail, etc.

Bien que les risques psychosociaux au travail ne soient pas facilement appréhendables, il importe d’en minimiser les conséquences pour le bien des promoteurs et coopérateurs. Il faut à la fois préserver l’intégrité des travailleurs, et promouvoir un cadre sans stress pour eux. S’ils sont en bonne santé et que la médiation est assurée de manière permanente, les conflits intra-entreprises seront maîtrisés grâce au conciliabule.

La faisabilité de la prévention des risques professionnels n’est plus à démontrer vu les centres d’expertise qui proposent des couvertures. Il est donc primordial d’y songer, quel que soit le statut de l’établissement.

Etre salarié dans une entreprise présente beaucoup d’avantages. Une fois embauché, un salarié a hâte de signer le contrat de travail. Pourtant, pour ne pas se faire avoir, il est important de bien connaître ses droits avant la signature. Face à certaines situations, il arrive que certains employés ne sachent même pas leurs droits qui doivent être défendus.

Comment protéger ses droits en tant que salarié ?

Avant d’actionner le moindre recours, il est conseillé d’essayer de discuter du problème avec son employeur. Il est aussi possible de se rapprocher de son supérieur hiérarchique ou des ressources humaines. Dans le cas où ces démarches amiables n’aboutissent pas, il faut voir avec les syndicats ou les représentants du personnel.    

Quelques motifs comme un harcèlement, un licenciement ou une démission pourraient entraîner un problème entre un employeur et son employé. Afin d’y remédier, l’intervention d’un professionnel est indispensable. Le salarié peut se rapprocher de l’inspection de travail pour expliquer sa situation. En effet, le rôle de cet organe de contrôle est de défendre les salariés en prenant certaines décisions administratives. Il joue également le rôle de conciliateur pour ne pas en venir aux procédures coûteuses. Pour entrer en contact avec lui, le salarié peut se rapprocher de la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation (Direcc). S’il a déjà son adresse mail, il lui est possible d’envoyer un mail en indiquant la date et le souci qu’il rencontre.

Faire intervenir un avocat droit du travail paris peut aussi aider un salarié, cliquez ici pour en trouver. Certes, cela va engendrer des coûts élevés, mais il reste un moyen sûr dans l’atteinte des objectifs. Ayant des connaissances dans le domaine, un avocat rupture conventionnelle le domaine est en mesure de conseiller sur la manière de protéger les intérêts d’un salarié. Lors d’un litige en licenciement, l’accompagnement d’un avocat licenciement paris est un grand atout.

Quels sont les droits d’un employé ?

Les droits d’un salarié sont généralement définis dans les accords collectifs, le Code du Travail et le contrat du travail. Dans le contrat de travail, certaines mentions doivent être indiquées. Il peut s’agir de : l’identité des parties, la durée du travail et le délai de préavis… Néanmoins, leur absence n’entraîne pas forcement de graves conséquences pour un salarié. Ce dernier pourra négocier certains points comme lé rémunération, une prime, un téléphone, un véhicule de fonction ou autres qui doivent être indiqués dans le contrat.

Un employé doit bien vérifier que la catégorie du poste, la description et la rémunération correspondent à ce qui a été prévu. Il doit aussi porter une attention particulière sur des clauses spécifiques notamment les clauses de non-concurrence, de mobilité géographique ou dédit-formation. En général, ces questions ne sont pas abordées lors de l’entretien. 

Avant de signer un contrat de travail, un salarié peut demander un délai pour bien lire ce qui est écrit dans le document. Le plus judicieux est de demander l’envoi du contrat par e-mail avant la date du début du contrat.     

L’importance de connaître ses droits

En tant que salarié, consulter ses droits est essentiel. Il faut toujours s’informer en permanence sur les dernières actualités juridiques et sur les possibles changements. Ainsi, l’employé ne pourrait pas se faire arnaqué. Une fois embauché, il devrait bien prendre conscience de ce qui est écrit dans le contrat de travail. En cas du non-respect de ses droits, il peut faire des revendications pour une homologation rupture conventionnelle lors d’un licenciement.

Pour rappel, tous les règlements régissant le monde professionnel sont formulés dans le code du travail. Les droits existants et les modifications sont consultables via le site officiel du gouvernement. Toutes les informations utiles sur le contrat de travail, l’embauche, le temps de travail, les congés payés, la rémunération, la rupture conventionnelle, les lois sur les maladies et le licenciement y sont détaillées. La connaissance de ces droits assure une vie professionnelle sécurisée.

   

Dans la réalisation de certains projets ou travaux, les principaux problèmes qui ralentissent son accomplissement sont souvent la contrainte de disponibilité pour certains membres de l’équipe. En outre, il y a l’existence de l’espace entre eux, le manque de temps, les différentes méthodes de travail, l’incompréhension entre équipe et plus encore.

Définition d’une plateforme collaborative

Une plateforme collaborative est un espace virtuel qui accorde aux utilisateurs de mettre en œuvre toutes les étapes et les travaux nécessaires afin de réussir la réalisation d’un objectif commun en dehors de toute forme hiérarchique. Il s’agit d’un logiciel qui permet de promouvoir la communication entre les collaborateurs pour avancer un projet. Cela permet de transmettre les mêmes messages à tout le monde et en même temps. Ce dont on a besoin pour sa pratique est un appareil numérique ayant accès à internet et aux sites web. Pour une plateforme collaborative CSE, le besoin de stockage partagé permet aux élus de s’épanouir en toute sécurité dans l’exécution de leurs besognes. Visitez le www.optimizeo.net pour vivre dans le monde de la plateforme de collaboration CSE.

À quoi sert la plateforme collaborative ?

La plateforme collaborative assure la cohésion entre les collègues lors des travaux en équipe. L’espace de travail en ligne permet de distribuer les tâches afin de comprendre les activités de chacun, d’établir un calendrier de travail pour surveiller le déploiement et l’évolution des fonctions de chaque collaborateur. Il consiste à poser des deadlines pour la finalité de chaque activité afin de les synchroniser. Ils pourront effectuer des Visioconférences pour pouvoir expliquer à temps réel les difficultés ou la généralité sur les tâches déjà réalisées et celles qui seront encore dans le programme. L’employeur pourrait y donner conseil et instruction. Tous les sujets sont discutables sur la plateforme, on peut aussi partager des messages, c’est la messagerie collaborative. À travers ce système, les membres du personnel ont la capacité de commenter, de demander et de donner leur avis sur une activité qui leur appartient ou qui appartient à autrui. Le système de stockage partagé permet de partager des documents sensibles à un collaborateur sans devoir passer par le cloud de l’entreprise. En même temps, elle est sécurisée, car chacun possède un accès personnalisable et modifiable afin de protéger les informations sensibles et confidentielles et permet de réaliser des partages de fichiers sécurisés. Elle sert donc à gérer l’ensemble du progrès d’un projet en équipe en fusionnant les activités de chacun dans les outils CSE jusqu’à son accomplissement.

Plateforme collaborative et CSE

La plateforme collaborative CSE est considérée comme un moyen de communication comme l’email et les réseaux sociaux, mais en plus fonctionnels pour les élus. Le CSE ou Comité Social Économique est l’un des organismes qui peut tirer profit de ce système. C’est une instance de représentation du personnel. Il est composé de l’employeur et des délégués élus du personnel au nombre fixé en fonction de l’effectif de l’entreprise. Cette juridiction a pour rôle d’assurer, de contrôler et de concourir à la gestion de toutes les affaires culturelles et sociales établies dans l’entreprise ainsi que de se battre pour que ce soit en faveur des employés et des stagiaires ainsi que leur famille. Le quotidien de ces élus tourne autour du stockage et de répartition de documents. La gestion de cette activité sur le cloud ou sur un serveur distant concourt à la facilité du travail. Le stockage partagé dans une plateforme collaborative CSE permet de se partager les informations nécessaires même délicates en toute sécurité, ainsi que de s’échanger des messages avec sureté grâce au système de messagerie partagé.

Comment est la plateforme collaborative ?

La Plateforme collaborative CSE est sous forme de site internet. Pour l’utiliser, il nécessite donc un laptop ou un support ayant accès à internet et qui permet de gérer, de partager, de modifier des contenus. Il doit aussi avoir la capacité de lancer et répondre les appels vidéos. Comment procède-t-on alors à l’utilisation de cette plateforme ? Plusieurs étapes doivent être conçues à l’avance afin de confirmer la bonne cohésion de l’équipe ainsi que la bonne pratique du travail. Il faut d’abord considérer, parler et comprendre la fonctionnalité et l’usage de la plateforme collaborative. Ensuite, penser à la mission à réaliser, il faut bien la définir afin de bien connaître les chemins à prendre pour sa réalisation. Puis, il est nécessaire de la mettre en place et d’assurer par la suite l’ambiance et l’animation qui s’y installe afin de motiver l’équipe. Pour garantir la réussite de l’activité, il faut que l’équipe soit motivée, et composée de personnes ayant des connaissances diverses et qui sont capables de s’adapter à tout type de situation et de travail. La messagerie collaborative doit être la plus utilisée afin d’encourager la communication entre chacun. Les travaux dans la plateforme collaborative CSE ont besoin d’être évalués régulièrement pour assurer son amélioration et ainsi voir les complications et obstacles pour chaque personne.

Chaque jour, différents types de personnes circulent dans un restaurant. Pour les endroits les plus réputés, les tables de l’hôtel ne seront jamais vides. Étant donné le nombre de gens qui entrent et qui sortent, il est impossible pour les responsables d’annoncer à chacun d’eux toutes les informations essentielles qui doivent être connues. De ce fait, il est important et obligatoire pour tous les restaurants de mettre en place des affichages qui pourront servir que ce soient pour les clients que pour le personnel.

Les affichages pour les clients 

Avant même d’entrer dans l’établissement, le type du restaurant doit être mis en avant à l’entrée. Où que vous soyez, l’affichage de la zone non-fumeurs est surement une habitude. Personne que ce soit un client ou un membre du personnel n’a le droit de fumer dans l’enceinte du resto. Une règle qui doit être considérée pour le bien-être de tous. Si l’hôtel vend de l’alcool, le gérant doit poser une affiche liée à la protection des mineurs. En d’autres termes, le restaurant n’a pas le droit de donner des boissons alcoolisées à des mineurs. Pour aider les consommateurs à trouver facilement les toilettes, une indication appropriée doit être facile à repérer. Des flèches pour indiquer le chemin ne seront pas du refus. En cas de problème, les issues de secours doivent être très visibles. Avec les affiches posées, chaque détail devient plus clair pour tout le monde. Quand les indications sont précises et faciles à cerner, les soucis seront réglés rapidement. De plus, il n’est plus difficile d’accéder à des affiches pour les restos. Grâce à internet, vous aurez l’occasion de trouver les services relatifs à cela. En quelques clics, vous aurez à votre disposition toutes les instructions à considérer sur les plaques qui doivent être posées dans vos locaux.

Les renseignements sur les aliments 

Avant de consommer les plats qui sont proposés par le restaurant, le client a le droit de connaître les tarifs de la nourriture. Ces informations doivent de ce fait être mentionnées obligatoirement dans les cartes du menu. Certains restaurants n’hésitent pas à mettre devant l’établissement un tableau exposant le prix des principaux plats concoctés par le chef. Cela reste aussi une manière d’attirer les clients si le prix est abordable par rapport aux autres. Une stratégie marketing qui peut s’avérer être efficace. Pour éviter les problèmes d’allergies de certains consommateurs, il est utile pour le gérant d’énoncer tous les ingrédients des repas présentés. Du plus important au plus insignifiant, aucun détail ne doit être mis de côté, car cela peut sauver la vie des gens. L’affichage obligatoire n’est pas seulement dans l’intérêt du restaurant. Certaines informations peuvent être vitales pour les consommateurs. Certains propriétaires affichent même dans les cartes les provenances des ingrédients pour donner plus de quottes à leurs plats. Si certains éléments sont faits maisons, le logo adéquat doit être visible par tout le monde.

Les indications pour les personnels du restaurant

Comme tout établissement public, un restaurant ne peut pas échapper à certains dangers. Il est de ce fait très important que des affichages de sécurité soient mis en avant. Tous les personnels doivent connaître toutes les informations nécessaires si un problème surgit durant son service. Un client qui s’étouffe, un incendie qui se déclenche… les salariés doivent avoir facilement accès à des numéros d’urgence pour éviter le pire des scénarios. Grâce à l’affichage obligatoire en entreprise, les instructions de sécurités seront facilement suivies. Dans les pièces réservées pour les salariés, le gérant doit mettre une affiche qui sera utilisée pour mettre les horaires des personnels. Les heures de travail, les jours de congé… rien ne doit être minimisé.

 

Une réunion du comité d’entreprise doit se tenir et vous devez rédiger l’ordre du jour afin de convoquer les participants. Pour vous aider alors sur ce sujet, on va répondre à ces quelques questions. D’abord, qu’est-ce qu’on entend par ordre du jour ? Puis, comment faire pour bien le rédiger surtout pour une réunion du comité d’entreprise ? Ensuite, pourquoi le comité d’entreprise se réunit ? Et enfin, comment envoyer l’ordre du jour d’une réunion du comité d’entreprise ?

Qu’est-ce qu’on entend par ordre du jour ?

Notamment quand il y a une réunion, d’après le code de travail, on doit établir un ordre de jour et contacter les participants. Par définition, un ordre de jour est donc un document qu’on utilise pour convoquer les intervenants pour une réunion. Il doit être envoyé à l’avance. Car c’est une sorte de laissez-passer récapitulant tous les sujets qui doivent être abordés lors de cette réunion. Toutefois, les questions qui ne sont pas inscrites sur l’ordre du jour ne sont pas prises en compte. Le comité d’entreprise doit avoir le temps nécessaire pour préparer la réunion, il n’y aura pas de réunion à l’improviste. D’où la nécessité d’établir l’ordre du jour. Ce dernier doit être rédigé par le secrétaire suivant l’instruction de la direction de CE (comité d’entreprise) connu comme étant l’employeur. Et il doit être arrêté par ce dernier et le secrétaire après sa rédaction stipulée dans l’article L2325-15. Mais pour cela, il faut savoir bien le rédiger. Pour plus d’information alors concernant la loi sur l’ordre de jour, consultez l’article 2325-15

Comment bien rédiger l’ordre du jour de la réunion du comité d’entreprise ?

Afin d’obtenir des avis positifs lors de la réunion de comité d’entreprise, les participants doivent bien se préparer sur les sujets en question. Il est donc nécessaire de bien rédiger l’ordre du jour de la réunion. Pour se faire, vous devez tenir compte de l’importance des questions à débattre et de les lister par ordre hiérarchique. Mais avant tout, vous devez lui donner un titre pour que l’on sache ce que c’est. Puis, énoncez clairement les objectifs de la réunion tout en incitant les participants dans la préparation au débat. Une fois les objectifs identifiés, vous pouvez maintenant énumérer les sujets à aborder en précisant sa durée. Et n’oubliez pas d’y mettre un temps d’échange et de révision dans les listes de l’ordre du jour pour mettre aux clairs touts ce qui va être conclu. En dernier, n’oubliez pas de faire signer l’ordre de route par votre employeur. Si vous êtes le secrétaire désigné dans le comité, vous devez aussi le signer. Puisque, « l’ordre de jour non signé par l’employeur et le secrétaire n’est pas régulier » stipulé dans l’article L2325-15.

Pourquoi le comité d’entreprise se réunit ?

Un comité d’entreprise est l’ensemble de personnel d’une entreprise qui se charge à la fois de la fonction économique, sociale et culturelle. Il est constitué du directeur d’entreprise et des syndicats. Il joue le rôle d’instance consultative pour les décisions relatives à la gestion de l’entreprise. De ce fait, il agit au profit des salariés et de leur famille. Par son existence, la loi déclare, l’obligation d’une réunion de ce comité. Par conséquent, le comité d’entreprise doit se réunir un ou deux fois par an selon l’article L2325-14 juste avant L2325-15 concernant « l’ordre du jour ». Cet article annonce que « dans les entreprises de moins de 150 salariés, le comité d’entreprise se réunit au moins une fois par mois… » Cette fréquence doit être respectée, quelle que soit la disponibilité du responsable d’entreprise, sinon, il y aura pénalisation. Et normalement, la réunion est organisée pour le bon fonctionnement de l’entreprise et de ses salariés.

Comment envoyer l’ordre du jour aux participants ?

 En respectant tous les règles sur l’ordre du jour et sa rédaction selon l’article L2325-15 du code de travail, vous pourrez l’envoyer sans ambigüité. Bien sûr, après sa rédaction, l’ordre du jour doit être émis aux destinataires (les participants), c’est strictement obligatoire à risque d’être pénalisé. Pour ce faire, vous pouvez donc utiliser plusieurs canaux de communication. Toutefois, cet ordre du jour doit être envoyé 3 jours avant le moment décisif. Cela donnera du temps à l’intervenant de réfléchir au sujet à débattre. Il doit être aussi communiqué à l’agent de contrôle de l’inspection du travail et à l’agent des services de prévention des organismes de sécurité sociale. Vous pouvez alors l’envoyer par fax, courrier électronique, lettre à poster ou le remettre en main propre au destinataire.

En bref, pour bien rédiger l’ordre du jour de la réunion du comité d’entreprise, vous devez vous organiser avec l’employeur. Définissez ensemble l’objectif de cette réunion et hiérarchisez les questions ou les sujets à débattre. Il faut donner un laps de temps aux intervenants pour que cette réunion soit propice. Mais, dans tout cela, vous devez respecter les règles dans l’article L2325-15 du code de travail.

 

Les RPS concernent beaucoup de salariés. Ces problèmes physiques et mentaux ne sont pas toujours pris au sérieux par la plupart des employeurs. Pourtant, ils engendrent des conséquences désastreuses aussi bien pour les employés que pour les entreprises. Dans cette optique, il est possible de les prévenir en mettant en œuvre et en appliquant quelques techniques, mais auparavant, il est indispensable de déterminer les causes et les conséquences de ce mal-être.

Causes, symptômes et conséquences des troubles psychosociaux

Avant de mettre en place une stratégie pour prévenir les RPS, il est nécessaire de déterminer ses causes, symptômes et conséquences. Celles-ci varient d’une personne à une autre, mais il y a des points communs qui les rassemblent.

Les causes

Les violences internes sont considérées comme causes principales de troubles psychosociaux. Il peut s’agir d’un harcèlement moral ou sexuel subi par le travailleur, ou encore d’un conflit entre collaborateurs au cœur de l’entreprise. L’employé peut également subir des insultes ou attaques verbales des clients ou fournisseurs.

Les symptômes

Lorsqu’un travailleur souffre de RPS, il est possible de les reconnaitre à travers quelques signes. Physiquement, la personne présente des crises de migraines permanentes, un harassement inexplicable ou encore une difficulté de digestion. Psychologiquement, le mal-être au travail peut se traduire par de la nervosité, du stress, de l’insomnie ainsi que de l’agacement. Des symptômes comportementaux peuvent aussi apparaitre, comme une consommation démesurée de tabac ou de produits caféinés. La personne a tendance à s’isoler du groupe, tout en devenant de plus en plus agressive.

Les conséquences

Sans une prise en charge adéquate, les risques psychosociaux peuvent engendrer des conséquences néfastes sur la santé de l’employé. Celui-ci peut développer des troubles musculo-squelettiques ou des pathologies cardio-vasculaires. Il arrive également que leurs anciennes maladies chroniques se répètent sans explication.

Pour l’entreprise, les impacts se répercutent sur la production de l’employé qui souffre du mal-être. Dans cette optique, il sera difficile aux managers de gérer les équipes à cause d’une atmosphère morose qui peut s’établir entre les collègues. Au fil du temps, les conséquences peuvent impacter négativement l’image de l’entreprise.

Pour éviter ces différents désagréments, il est judicieux de recourir à des solutions efficaces et durables. L’aide d’un expert en bien être au travail est recommandée.

Réunir les parties concernées pour remédier au mal-être au travail

La première solution à envisager est de convier tous les acteurs concernés à une formation qualité de vie au travail. Pour résoudre le problème à sa source, il faut que la direction s’implique lors de cette réunion. Outre les salariés, il est impératif que le CSE, les responsables des ressources humaines, le QSE ainsi que les représentants des syndicats y participent également.

Souvent, les entreprises qui souhaitent offrir une qualité de vie optimale à ses employés ont tendance à négliger la participation des salariés dans ce type de discussion. Pourtant, ils sont ceux qui subissent les contraintes sur le terrain. Avec l’appui des partenaires sociaux, ils sauront exposer les solutions à mettre en place pour rétablir la bonne ambiance de travail en entreprise. Le QSE est, quant à lui, responsable de la mise en œuvre et du contrôle des dispositions adoptées au cours de la réunion.

Effectuer une analyse approfondie des tâches à réaliser

L’amélioration de la santé et sécurité au travail nécessite une réduction des sources de stress. Pour cela, il faut mettre en place une analyse approfondie des missions consignées dans les fiches de postes et les travaux à réaliser. En effet, un écart entre ces deux éléments peut être une source de stress. Il faut que chacun, du salarié en passant par les partenaires sociaux jusqu’aux dirigeants, puisse formuler sa vision des tâches à effectuer.

Il faut que les missions confiées à chacun soient en accord avec ses compétences et ses qualifications. Par exemple, une personne chargée de la prospection ou du recouvrement des soldes ne maitrisant pas à la perfection l’anglais aura du mal à communiquer avec une clientèle anglophone. Il faut que les dirigeants prennent conscience de cette problématique afin que la mission ne devienne pas une difficulté professionnelle perpétuelle. Cette mesure est valable pour n’importe quelle branche de l’entreprise. À titre d’information, toute formation qualité de vie en entreprise peut convenir à n’importe quel secteur d’activité.

Mettre en place des solutions durables

Pour faire face au RPS, il est indispensable de favoriser des solutions bien réfléchies et durables. Par conséquent, un expert en bien être en entreprise va établir un diagnostic afin de mettre en place une stratégie adaptée à la politique d’entreprise et aux employés. Pour effectuer cette mission, tous les sujets seront débattus après l’identification des problèmes. À partir de ces données, il est plus facile d’établir un plan d’action qui peut être réalisé et efficace sur le long terme.

Le plan d’action doit être accepté par toutes les parties concernées. Il ne faut pas mettre de côté les propositions sur lesquelles les parties ne se sont pas d’accord, car il est possible de les intégrer au fur et à mesure que les dispositions initiales seront assimilées par tous. Ainsi, les méthodes ayant pour objectif d’établir le bien-être commun au sein de l’entreprise ne doivent pas être fixes. En effet, elles peuvent être améliorées en fonction des besoins évolutifs de l’entreprise et des employés.

La mise en place d’une bonne qualité de vie en entreprise en vue d’anticiper les RPS est un processus qui garantit la performance de l’entreprise. Par conséquent, il faut accorder une importance particulière à ces mesures.